Les abus de pouvoir

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L'Etat prélève d'une main, puis redistribue de l'autre 1 650 milliards environ. Cette situation provoque un dilemme permanent : chacun souhaite récupérer plus que sa part ! Labeur et mérite ont cédé la place à la violence, au corporatisme, à la jalousie, à la méfiance et à la médisance (chapitre 1). Cette situation " pourrit " la vie des organisations. Les responsables les plus dynamiques, ceux qui apportent des idées et prennent le risque de l'innovation, sont sournoisement ou violemment attaqués par la médiocrité, le laxisme et l'immobilisme qui ont fait alliance avec les bonnes vieilles méthodes de l'occupation : la délation et la trahison (chapitre 2). Dans cette ambiance, tel imposteur n'hésitera pas à faire une révélation contre un collègue plus dynamique, à voler le mérite d'un collègue plus laborieux ou à récompenser un collègue plus servile ! Le combat fait rage au sein des organisations qui cultivent la logique du fusible et les luttes fratricides (chapitre 3). Mais tous les modèles, séculaires ou modernes, religieux ou psychanalytiques, humanistes ou philosophiques, condamnent unanimement cette culture. Personne ne diminue sa médiocrité en s'attaquant aux autres (chapitre 4). C'est sur l'amélioration de nous-mêmes qu'il faut diriger notre effort ! (chapitre 5).Que vous soyez d'un côté ou de l'autre, ce livre et ces 73 témoignages inédits vous intéresseront forcément ! Bonne lecture !