Het werk van Vladimir Volkoff duikt in de ingewikkelde thema's van de Koude Oorlog, inlichtingen en manipulatie, vaak doordrenkt met metafysische en spirituele diepgang. Zijn verhalen verkennen de complexiteit van wereldwijde intriges en de menselijke psyche onder druk. Volkoff creëert meesterlijk boeiende verhalen die de perceptie van de lezer uitdagen en een blijvende intellectuele indruk achterlaten.
Im Kontext des Algerienkrieges entfaltet sich die Geschichte um eine Granate, die von verschiedenen Charakteren weitergereicht wird. Diese archetypischen Figuren, geprägt von Selbsthass und Konfrontationen mit islamistischem Terror, spiegeln komplexe gesellschaftliche Fragestellungen wider. Die Erzählung bleibt bis zum bitteren Ende spannend und vermittelt eindringlich die Herausforderungen und Widersprüche der westlichen Werte. Der Stil ist prägnant und verzichtet auf überflüssige Worte, wodurch die Handlung an die Intensität eines Kriminalromans erinnert.
Le lieutenant Robert Lavilhaud, jeune officier réserviste originaire d'Amiens, orphelin d'un père militaire de carrière mort en héros, est nommé en Algérie, où les circonstances le contraignent à pratiquer la torture, malgré ses convictions religieuses. Pris dans l'engrenage de la situation politique et militaire de l'Algérie dans ce tout début des années 60, les manipulations de ses supérieurs le conduisent à passer en jugement pour les actes commis et couverts. Son univers intérieur, ses rêves de gloire, sa foi et ses certitudes sont ébranlés. En prison, il redécouvrira l'amour. Dans ce roman, au style tendu et nerveux, Vladimir Volkoff aborde un thème de plus en plus fréquemment évoqué : la torture pratiquée en Algérie par des policiers, par certains militaires français et par le FLN ; ses aspects moraux dans toute leur complexité. Parce que Volkoff reste Volkoff, le lecteur trouvera également dans cet ouvrage nombre de manipulations et autres " retournements " dans l'art que l'auteur maîtrise magnifiquement. Enfin, Vladimir Volkoff nous fait parcourir une galerie de portraits, ses portraits, ceux de personnages d'une grande richesse humaine auxquels on s'attache dès les premières pages. Le Tortionnaire est l'ultime et magistral roman de Vladimir Volkoff
Cet héritier de Graham Greene plaira, comme l'écrit Poirot-Delpech dans ##Le Monde## du 4 janvier, "aux amateurs de spiritualisme malicieux". Dans le présent roman, "fouillé et dense", l'activité littéraire et l'espionnage font l'objet d'une mise en parallèle systématique. Le lecteur se retrouve au centre d'une grande toile dont les fils multiples se nomment : littérature (la grande{), stratégie, politique, philosophie, théologie, espionnage, sociologie, etc.
