A Short Treatise Inviting the Reader to Discover the Subtle Art of Go
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Jacques Roubaud is een Franse dichter en wiskundige wiens werk vaak de kruising van kunst en wetenschap verkent. Als lid van de Oulipo-groep wordt zijn schrijven gekenmerkt door een diepgaand zelfbewustzijn van de scheppingsdaad, waarbij formele beperkingen vaak verschijnen door hun eigen onderdrukking. Roubauds proza, variërend van speelse verhalen tot diepzinnige meditaties over het bestaan, onderzoekt schrijven als een bevestiging van waarde en zijn.
A postmodern fairy tale might best describe Jacques Roubaud's delightful book The Princess Hoppy or, The Tale of Labrador. How else to describe a novel that reads like an Arthurian romance as rewritten by Lewis Carroll, with enough math puzzles to keep the game reader busy with a calculator for months? The tale concerns a princess, her faithful dog (who happens to be a wiz at math), four royal uncles always plotting, four royal aunts always potting, a lovesick hedgehog named Bartleby, two camels named North Dakota and South Dakota, four ducks who double as boats (thus called doats), and an amphibious blue whale named Barbara--to name only a few. (Even the Sun has a speaking role.) There are dramatic abductions, daring rescues, passages in hitherto untranscribed languages (Dog, Grasshopper, Duck), tales of unrequited love, allegorical interludes, poems, a playlet, and much more. (But no suspenders, the author promises.) Finally, there are 79 questions for readers of the novel, to see how closely they've been paying attention--for ultimately The Princess Hoppy is a giddy inquiry into how we read literary works. It is both an old-fashioned tale and an ultramodern hypertext, the oldest and the latest thing in fiction.
Der 90-jährige Autor Jacques Roubaud widmete sich täglich einer Pflanze und schuf 107 Gedichte mit Reimen und Wortspielen. Diese kongeniale deutsche Fassung wurde von Roubaud persönlich autorisiert.
In diesem humorvollen und vielschichtigen Roman verknüpfen sich die Schicksale des adeligen Katers Alexander, der schönen Hortense und mysteriöser Vorfälle in der Rue des Citoyens. Der Text ist eine gelungene Mischung aus Krimi, Liebesgeschichte und philosophischer Parodie, die das Romanschreiben und -lesen beleuchtet.
In drei Aufsätzen untersuchen die Autoren die Verbindung zwischen Literatur, Sprache und nationaler Identität. Themen sind unter anderem nationale Dichtung, Fremdenhass und der Einfluss des amerikanisch-englischen Romans. Zudem wird die Sprachwirklichkeit und das überzeichnete Deutsch der Welt kritisch beleuchtet.
"Ces méditations s'inscrivent dans la continuité du dernier livre de Jacques Roubaud, Quelque chose noir, qui était inspiré par un deuil intime. La première partie de l'ouvrage fait penser à la récente exposition de ces natures mortes "philosophiques" qu'on nommait, au XVIIᵉ siècle, des Vanités. Le titre du livre fait référence à un ouvrage anglais de logique mathématique de David Lewis. On pourrait avancer l'hypothèse de lecture suivante : Encore en proie à la souffrance et à la perte de l'être aimé, le poète cherche un refuge possible à la solitude du malheur dans les ressources que peut offrir à l'être acculé au mur de la mort la possibilité (logique et logiquement exposée dans le livre de David Lewis) de l'existence d'autres univers, à l'envers ou dans un ailleurs de ce mur de la mort. Chaque texte - de méditation - tourne, et retourne, comme un mathématicien maniant des théorèmes, les possibilités d'une délivrance de l'enfermement douloureux du deuil. La qualité de ces textes, souvent énigmatiques, c'est que le fonctionnement de l'intellect et la douleur affective y sont indissolublement liés. La seconde partie, La maladie de l'âme, abandonne la réflexion logique et mathématique. La troisième, Cercles en méditation, conduit à un climat plus apaisé, un retour de l'âme non vers une "happy end", mais vers le vide vivant de la vie." Bulletin Gallimard, oct. 1991.