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Pierre Kadi Sossou

    Römisch-germanische Doppelgängerschaft
    Rencontre des altérités
    Un donsomana pour Kourouma
    • Un donsomana pour Kourouma

      • 193bladzijden
      • 7 uur lezen

      Un donsomana pour Kourouma …, sorte de séquence de fin d'histoire, chapitre ultime où crève le héros s'il ne s'envole vers un destin, des tribulations autres… Mais il ne s'agit pas de dire une fin. Plutôt le continuum, le cheminement avec nous, en nous, d'une œuvre toujours en marche à l'image de ces rhapsodes, Fama, Koyaga, Birahima et les autres dont les ombres rétives occupent l'univers créé par le romancier malinké … auteur des traditions et des voix (es) nouvelles mais qui savait aussi aller à contre-courant, s'opposer aux carcans, injustices et statut quo et tracer un chemin de possibles. Le possible d'une vie, d'un soleil autre.

      Un donsomana pour Kourouma
    • Cet essai porte sur le voyage et l'errance. En choisissant de lire l'errance et la nostalgie dans le „Taugenichts“ d'Eichendorff, l'auteur a choisi de rester fidèle à sa discipline, la germanistique, sans se soustraire aux préoccupations de son espace natal, l'Afrique. Son rapport au Propre à rien le relie en effet aux préoccupations de nombre d’auteurs africains sollicités par la question de l'exil. Errance et voyage représentent souvent déracinement et aussi constant désir d'ancrage. Ce qui intéresse l'auteur n'est pas seulement la poétique de la mobilité, mais surtout le rapport à l'Autre qui résulte du déplacement, du déracinement. Cette poétique du rapport à l'Autre va le conduire à interroger tour à tour l'altérité féminine ou l’autre sexe, l'altérité humaine ou l'autre tout court et l'altérité divine ou le tout-autre.

      Rencontre des altérités
    • Römisch-germanische Doppelgängerschaft

      Eine ‘palimpsestuöse’ Lektüre von Kleists "Hermannsschlacht"

      • 191bladzijden
      • 7 uur lezen

      Kleists Drama Die Hermannsschlacht ist nicht, wie bisher überwiegend behauptet, im Sinne einer deutschnationalen Ideologie konzipiert. Sie ist vielmehr ein Laboratorium der Vermischung von Kulturen. An Genettes Konzept der Intertextualität anknüpfend, liest der Autor Die Hermannsschlacht als Hypertext von Ciceros De officiis und Ovids Ars amatoria, die das Drama nach Art eines ‘Palimpsests’ überlagert. Aus der ‘palimpsestuösen’ Lektüre ergibt sich, dass Kleist seine germanischen Helden Hermann und Thusnelda sich mit einem römischen Moralkodex gegen den römischen Überfall zur Wehr setzen lässt. Hermann operiert mit einer genauen Kenntnis des römischen Kriegsrechts. Er kämpft mit geistig-politischen und rechtlichen Waffen seiner Gegner und kann daher nicht als ein brutaler Fundamentalnationalist erscheinen, der rücksichtslos rechtswidrig agiert. Seinen Sieg über Varus verdankt er nicht einem exzessiven Chauvinismus, sondern seiner kulturellen Hybridität.

      Römisch-germanische Doppelgängerschaft