Did Freud present a scientific hypothesis about the unconscious, as he claimed? This question has sparked debates about the legitimacy of psychoanalysis, particularly among Lacanian analysts who emphasize Freud's scientific basis. Jacques Bouveresse, an authority on Ludwig Wittgenstein, contributes to this discussion by examining the early issues surrounding psychoanalysis through Wittgenstein's perspective. Wittgenstein, who critiqued traditional philosophy, thoughtfully considered Freud's assertion of a scientific theory regarding the human psyche. Bouveresse highlights that psychoanalysis aims not just for intellectual change but seeks to provoke authentic shifts in human attitudes. Wittgenstein appreciated the theory of the unconscious for moving beyond scientific explanations, offering new ways of thinking and speaking—a new mythology. Bouveresse critically analyzes all texts where Wittgenstein mentions Freud, immersing readers in the intellectual climate of early 20th-century Vienna. While Wittgenstein did not regard psychoanalysis as a proper science, he expressed wonder and respect for Freud's cultural contributions in addressing human concerns. This exploration of Wittgenstein's engagement with the theory of the unconscious also reflects his questioning of the authority of science and philosophy. Bouveresse's work serves as a challenge to the Lacanian psychoanalytic school and offers a provocative commentary on cultur
Jacques Bouveresse Boeken
Deze auteur verdiept zich in de filosofie, zoals blijkt uit zijn academische carrière. Zijn werk richt zich op de analyse en ontwikkeling van filosofische ideeën. Door zijn aanstellingen aan vooraanstaande universiteiten heeft hij generaties studenten gevormd en bijgedragen aan een dieper begrip van filosofische concepten. Zijn intellectuele nalatenschap ligt in doordachte reflectie op kernvragen van het denken.






Le possible et le probable constituent les deux notions centrales autour desquelles Musil a ordonné sa philosophie du devenir de l'humanité et sa conception de l'histoire.
Nietzsche contre Foucault
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La plupart des expressions typiques de Foucault dans lesquelles le mot " vérité " intervient comme complément - " production de la vérité ", " histoire de la vérité ", " politique de la vérité ", " jeux de vérité ", etc. - reposent sur une confusion peut-être délibérée entre deux choses que Frege considérait comme essentiel de distinguer : l'être-vrai et le tenir-pour-vrai. Or peu de philosophes ont insisté avec autant de fermeté que Nietzsche sur cette différence radicale qui existe entre ce qui est vrai et ce qui est cru vrai : " La vérité et la croyance que quelque chose est vrai : deux univers d'intérêts tout à fait séparés l'un de l'autre, presque des univers opposés ; on arrive à l'un et à l'autre par des chemins fondamentalement différents ", écrit-il dans L'Antéchrist. Foucault, alors qu'il n'a jamais traité que des mécanismes, des lois et des conditions historiques et sociales de production de l'assentiment et de la croyance, en a tiré abusivement des conclusions concernant la vérité elle-même.
Prodiges et vertiges de l'analogie
de l'abus des belles-lettres dans la pensée
Il est impossible de formuler des propositions philosophiques en général : c'est une conviction sur laquelle Wittgenstein n'a jamais varié. La solution réelle et complète d'un problème philosophique ne consiste pas pour lui à remplacer un usage métaphysique du langage par un autre, mais à ramener les mots de leur usage métaphysique à leur usage ordinaire. Cette idée constitue la véritable originalité de Wittgenstein. Le chemin qu'il nous suggère d'emprunter, c'est justement celui qui a été oublié par le système des options philosophiques existantes. À la différence de beaucoup de travaux antérieurs, les textes de ce recueil se caractérisent par le fait que leurs auteurs acceptent tous d'essayer de jouer le jeu de la philosophie à la façon de Wittgenstein. JACQUES BOUVERESSE. Les treize contributions ici réunies sont principalement consacrées au Wittgenstein des dernières années (1946-1951). Après l'époque du Tractatus, puis celle des Recherches philosophiques, sa pensée prend alors des inflexions nouvelles. Les manuscrits de cette période sont un matériau d'une richesse considérable, encore insuffisamment exploré. Ce livre a pour origine un colloque intitulé " Le dernier Wittgenstein " qui s'est tenu au Collège de France du 14 au 16 mai 2001, organisé par Jacques Bouveresse, Sandra Laurier et Jean-Jacques Rosat.
![Das XX. [zwanzigste] Jahrhundert](https://rezised-images.knhbt.cz/1920x1920/41476185.jpg)