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Karl Wilhelm Ferdinand Solger

    28 november 1780 – 25 oktober 1819
    Lezioni di estetica
    Écrits philosophiques
    Nachgelassene Schriften und Briefwechsel
    Bi-to-geijutsu-no-taiwa-Eruvin
    Nachgelassene Schriften und Briefwechsel I.
    Vorlesungen über Ästhetik
    • Kurz vor seinem frühen Tod 1819 hielt Solger in Berlin Vorlesungen über Ästhetik, die bereits den Gegenstand seines Hauptwerks, des Dialogs „Erwin. Vier Gespräche über das Schöne und die Kunst“, darstellten. Im Gegensatz zu dem komplexen Dialog sind die Vorlesungen, die in einer 1829 veröffentlichten Nachschrift seines Schülers K. W. L. Heyse überliefert sind, zugänglicher und verständlicher. In drei Teilen entwickelt Solger eine spekulative ästhetische Theorie, deren Mittelpunkt der romantische Begriff der Ironie ist. Der erste Teil behandelt den Begriff der Idee des Schönen, der zweite „Von der Kunst“ im Allgemeinen, und der dritte widmet sich den „besonderen“ Kunstformen, die er nach universellen (Poesie), symbolisch getragenen (Skulptur, Architektur) und allegorisch bestimmten (Malerei, Musik) Kunstformen unterteilt. Ein Höhepunkt seiner Reflexion ist eine Theorie des Tragischen, die auf profunden literarischen Kenntnissen basiert. Solgers Ästhetik versucht, eine Brücke zwischen Romantik und Idealismus zu schlagen und wurde von Philosophen der Hegel-Schule sowie von Dichtern als die „andere“ Ästhetik des deutschen Idealismus betrachtet. Sie gründet auf der Hinfälligkeit des Schönen und der systematischen Ausarbeitung eines tragischen Ironie-Begriffs und entwickelt eine Lehre vom Symbolischen und Allegorischen als dialektisch ineinander verflochtene Strukturbegriffe der Kunst.

      Vorlesungen über Ästhetik
    • Au coeur des transformations postkantiennes de la philosophie, et des tensions qui traversent la constellation formée par les idéalismes transcendantaux et spéculatifs, le premier romantisme, mais aussi la non-philosophie de Jacobi, la philosophie de Karl Solger (1780-1819) veut tenir ensemble spéculation métaphysique et existence individuelle finie, tout en préservant une conscience aiguë de leur différence radicale. Dans cette pensée de la révélation , qui allie ambition systématique et souci dialogique, se lit la tentative pour ressaisir, sans l'atténuer, un déchirement qui depuis la crise de l'idéalisme est encore le nôtre - entre nihilisme et désir de croire au vrai, entre impuissance de la pensée et besoin d'une élucidation rationnelle de la conscience et de l'existence.Déplaçant la focale de l'esthétique, mieux connue, vers la métaphysique, ce volume offre une traduction inédite des trois textes qui définissent la teneur de l'idéalisme de Solger - textes ici pour la première fois introduits, annotés, et précédés d'une présentation générale de sa philosophie.

      Écrits philosophiques
    • Il y a une grande esthétique romantique, c'est celle de Karl W.F. Solger (1780-1819) - une esthétique qui accepte la fragilité du beau et fait de l'ironie l'attitude de l'artiste moderne. Philologue (il œuvra à une somme sur la mythologie grecque et sa traduction des tragédies de Sophocle, adaptée pour la scène par Goethe, reste une référence) et philosophe (il occupa la chaire de philosophie à Berlin durant l'interrègne entre Fichte et Hegel), Solger installe les arts dans un rôle propédeutique.Sans renoncer à la rigueur d'un système, il privilégie la mise à l'épreuve de la pensée dans l'entretien, restituant dans ses écrits la force de son amitié et la vivacité de ses échanges intellectuels avec le poète Ludwig Tieck. Un dialogue, Erwin. Quatre entretiens sur le beau et l'art, paru en 1815, des Cours d'esthétique rédigés en 1819 et publiés dix années plus tard, une longue critique des Cours sur l'art et la littérature dramatiques d'A.W. Schlegel, une correspondance largement inédite, tel est l'essentiel de l'œuvre esthétique de Solger que ce volume propose pour la première fois en français.

      L' art et la tragédie du beau